Sommaire précédent

Le binôme Jean Conreaux et Marie-Noëlle Disdier l’a emporté au second tour avec 51,5% des voix sur le binôme Pierre Denis et Céline Geoffroy avec 48,5% des voix. Celui-ci a bien redressé la tête car la victoire de Jean Conreaux et Marie-Noëlle Disdier est moins nette que ne le laissaient prévoir les résultats du 1er tour.

Retour sommaire

Profitant de l'étiage du lac à la sortie de l'hiver, la Cellule alpine de recherche archéologique a mené une campagne de sauvetage urgent en quelques endroits choisis. Aidée par Florence Mocci, du CNRS (Centre Camille-Jullian, laboratoire d’archéologie antique et protohistorique d’Aix-en-Provence) et par François Ricoud, du Parc national des Écrins, venu participer bénévolement, elle a fouillé des ruines datant de l’occupation romaine, qui pourrait correspondre soit à un mansio, gîte d’étape placé le long des voies  romaines,  soit  plutôt  à  une  villa,  exploitation

agricole avec ses dépendances dans la mesure où la voie romaine passait en réalité beaucoup plus haut.

Retour sommaire

Le premier tour des élections départementales a mis le binôme Jean Conreaux et Marie-Noëlle Disdier, (divers droite, soutenu par l’UMP et la majorité sortante) avec 37 %, en ballotage favorable devant le conseiller général sortant Pierre Denis en binôme avec Céline Geoffroy, (PS/PRG), avec 29 %. Arrivent ensuite les binômes Martin Faure et Sandrine Lutz (divers droite, soutenu par le Modem) avec 18 % et Agnès Antoine et Gérard Ladoux (Front de gauche) avec 16 %. Outre le contexte politique national, Pierre Denis paie son absence de bilan et sa « candidature à reculons » alors que Jean  Conreaux  et Marie-Noëlle Disdier bénéficient de leurs fortes implantations locales.

Retour sommaire

L’évolution normale du projet implique le dépôt d’une demande d’enquête publique. Pour cela, il faut un dossier solide nécessitant que la SDEES réponde à toutes les questions qui se posent dans les semaines qui viennent. À ce jour, ses réponses ne sont pas à la hauteur des attentes. Donc, ça passe ou ça casse. Si ça casse avec la SDEES, les collectivités restent propriétaires de toutes les études déjà effectuées en vue de la relance du projet à partir d’un appel d’offre.

Retour sommaire

L’eau de Vallouise s’invite dans la campagne des élections départementales. C’est en effet le bon moment pour transmettre une information pertinente à la population. Bien que les calendriers du projet et des élections ne concordent pas, cette démarche de transparence est nécessaire, en ce moment, et au fur et à mesure du développement du projet.

Celui-ci doit être abordé globalement dans toutes ses dimensions.

 Les dimensions stratégiques, économiques et commerciales doivent être explicitées d’urgence, mais les dimensions sociales et environnementales vont devoir l’être aussi très rapidement. Et pourquoi pas dès maintenant.

La dimension sociale est celle qui est mise en avant (quelques dizaines d’emplois, les nombres varient, et semble-t-il, à la baisse) pour justifier le projet. Mais quels types d’emploi ? On aura noté que Frédéric Sauvegrain, le PDG de la SDEES, a répondu à Mediapart : « Il y a des recrutements de prévus, on a beaucoup de CV, des gens de l’industrie de l’eau, qui se joignent à nous ». Qui en a entendu parler ? Sur le fondement de quelles communications ? Le microcosme de l’eau est-il mieux informé que nos élus ? Ou y a-t-il cooptation ?

La dimension environnementale est aussi importante, sinon plus que toutes les autres pour ce qui concerne les nuisances aux riverains. Le transport ferroviaire n’a jamais été un scénario réaliste alors même que le transport des bouteilles d’eau de la « Roche des Écrins » à Chorges passait du ferroviaire au routier. Alors, 100 millions de bouteilles par an, cela va en faire des camions sur les routes. En direction de Marseille, mais aussi potentiellement en direction de Grenoble et de l'Italie via les cols du Lautaret (ou de la Croix-Haute) et de Montgenèvre.

L’impact environnemental doit donc être abordé avec soin et la plus grande transparence doit aussi prévaloir à ce niveau. Combien de camions ? Quelles nuisances ? Comment on les réduit ? L’approche devant être globale, c’est peut-être le bon moment de relancer le projet de déviation de la Roche-de-Rame. Bref, ferroviaire ou routier, il faut une stratégie et les investissements qui vont avec. Quels moyens met-on en face de ces urgences ? Cette question dépasse le cadre local puisqu’il s’agit d’une route nationale. Mais si elle ne peut pas être traitée faute de financements, à défaut, accepte-t-on les nuisances ?

Retour sommaire

L’article de Mediapart et la réponse d'Olivier Michaud, le DG de la SDEES mis en cause, dans l'édition Hautes-Alpes du Dauphiné Libéré ont ravivé les inquiétudes et les interrogations du printemps 2013 (« Vallouise en eau trouble »). Il est urgent de sortir de l'opacité qui entoure le projet et qui pourrait bien le plomber si elle devait perdurer. C'est le sens de la « lettre ouverte adressée aux élus pour que l'opacité ne plombe pas le projet ».

C'est indispensable car, l'interview d'Olivier Michaud, loin de dissiper les doutes a plutôt renforcé les craintes.

On prend acte de sa déclaration : « ni FN, ni fonds russes dans l’eau de source ». Mais d’une part, on n’est pas obligé de le croire dans l'opacité actuelle, et d’autre part on attend ce qu’il y a dans le projet et non ce qu’il n’y aurait pas.

Son allusion au très hypothétique marché chinois et à un possible démarrage à l’export, est particulièrement inquiétante par le vide qu'elle révèle.

Une du Dauphiné Libéré Hautes-Alpes

Avec la disparition du mystérieux client annoncé depuis près deux ans et le refus de dévoiler les investisseurs, on a plutôt régressé.

Restons néanmoins optimistes. Ce brutal coup de chaud sera peut-être finalement bénéfique. On apprend en effet que les investisseurs pourraient bientôt être connus, et plus curieusement que le projet serait maintenant « sous le contrôle de la sous-préfecture », à en croire les déclarations d'un binôme candidat. Il faut plutôt entendre par là : contrôle de légalité, délivrance de permis de démolir ou de construire, déclaration d'utilité publique, établissement de servitudes, etc. Donc, tout ce qu'il y a de plus normal concernant les procédures.

Retour sommaire

Une faible secousse sismique de magnitude 2,1 est survenue le mardi 17 mars à 10 h 07. Elle n'a pratiquement pas été ressentie. Si c'était en Ubaye, on n'en parlerait pas !

Retour sommaire

L’article de Mediapart dénonçant les liens entre les dirigeants de la Société d’exploitation des eaux de sources (SDEES, prononcé SDIZE) et l’extrême-droite a entrainé une interview d’Olivier Michaud, son DG dans laquelle il se défend de tout lien et revient sur les principales interrogations concernant le projet.

Malheureusement, s'il insiste sur les avancées de la partie technique du projet, c’est toujours la grande inconnue concernant les investisseurs et les éventuels clients. Il a nié qu’il y ait des fonds d’origine russe engagés (ce qu’avait déjà repris Mediapart, mais sans réponse plus claire on n’est pas obligé de le croire), par contre en lisant entre les lignes on comprend bien qu’il n’y a pas de clients en portefeuille, ni de marché défini, alors qu’on évoquait depuis deux ans un éventuel client final dans la grande distribution, qui s’est donc transformé en fantôme.

Photo Dauphiné Libéré

La simple allusion au très hypothétique marché chinois et à un possible démarrage à l’export est particulièrement inquiétante par le vide qu'elle révèle. Bref, avec la disparition du mystérieux client et le refus de dévoiler les investisseurs, on a plutôt régressé.

Retour sommaire

La haute vallée de la Durance a connu une malheureuse grande première avec un épisode de pollution aux particules fines. Durant toute la journée du jeudi 12 et une partie de celle du vendredi 13, un voile nébuleux a recouvert tout le Briançonnais et a fortement diminué la visibilité des sommets. Le nuage de particules a aussi voilé le ciel en Vallouise où il a pris un aspect laiteux permettant la photo ci-contre.

Photo Olivier Broumault - 13 mars 2015 →

L’épisode s’explique par la situation météorologique particulière de la semaine.

Retour sommaire

Mediapart consacre un article entier à Olivier Duguet, l'ancien gérant de la Société de développement et d'exploitation des eaux de sources (SDEES) et aux relations de ses dirigeants passés et actuels avec l'extrême droite. Le déroulement du projet est bien sûr évoqué. Cela nous ramène deux années en arrière, lorsque Vallouimages et d'autres avaient alerté les élus sur les risques que cela faisait courir au projet. Même si la partie technique du projet d'usine d'embouteillage de l'eau de Vallouise n'est pas au point mort, on ignore toujours, et l'origine du capital actuel de la SDEES, et les investisseurs dans le projet, et le client final. « Tant qu’on ne connaît pas le vrai investisseur, on ne peut pas signer de contrat, fait remarquer Joël Giraud. La SDEES, c’est un cache-sexe. […] ». Il n'y aurait que des lettres d'intention. Bref, on est toujours en « eaux troubles », et les élus s'impatientent. En plus, avec l'enquête de Mediapart, l'affaire prend une autre dimension.

Retour sommaire

La commune s'est dotée d'un site internet destiné aux informations communales, administratives et touristiques.

Retour sommaire

Plusieurs projets de la commune semblent en bonne voie de réalisation comme le plan d'eau en projet depuis plusieurs années à côté de la maison du Parc national, de même que la liaison skiable entre PSV et le fond de vallée en projet depuis encore plus longtemps et l'aménagement de la voirie entre la Casse et le village.

Retour sommaire

Saluons l'arrivée sur la toile d'un nouveau site internet entièrement consacré au ski et aux stations françaises de ski. Il s'appelle tout simplement skions.com, il est réalisé par des amis de Vallouimages et il est basé à l'Argentière-la-Bessée. Ce site s'adresse à tous les skieurs, à travers une présentation critique des stations, de nombreux articles sur le ski dans le blog, et un moteur de recherche sur les stations. On lui souhaite de continuer à se développer et à s'enrichir. Comme le disent ses auteurs, leur « force est que le descriptif de chaque station a été rédigé par leurs soins, loin du papier glacé des Offices de Tourisme ». On va pouvoir s’entendre car c’est aussi l’approche de Vallouimages, qui n’aime pas trop le « touristiquement correct » convenu !

Retour sommaire

Vallouimages félicitent chaleureusement ces trois couples pleins d'enthousiasme et de talent et leur souhaite d'encore progresser dans la hiérarchie gastronomique.

Retour sommaire

Retour sommaire

Tout le monde en Vallouise a durement ressenti les avalanches survenues dans la seconde quinzaine de janvier dans la Combe de Narreyroux. L'avalanche qui a tué six autres skieurs expérimentés bien connus dans la région quelques jours plus tard a encore alourdi l'ambiance. Ajouter à cela les chutes de neige poudreuse des 29 et 30 janvier qui ont fait monter le facteur de risque d'avalanche à 4 sur 5 et la multiplication des appels à la prudence, tout le monde s'est senti concerné. C'est l'occasion de revenir sur le lancement une saison particulière où le manque de neige a paradoxalement aggravé la situation.

Retour sommaire

Le vent d'ouest à nord-ouest et le vent de sud  ont provoqué de nombreuses accumulations, parfois loin des crêtes, puis le vent d'est, agrémenté de Lombarde,  en a créé de nouvelles, d'où un risque d'avalanches qui est Fort. La station Puy-Saint-Vincent a maintenu fermé le télésiège de la Pendine durant le week-end. La piste du Rocher Noir a également été fermée (normal, sa pente est supérieure à 30°) mais elle a déjà été parcourue à plusieurs reprises.

Retour sommaire

Retour sommaire

Le préfet lance à nouveau un appel à la vigilance compte tenu des risques marqués d’avalanche (3/5). Une nouvelle avalanche s’est encore produite cette après-midi dans la Combe de Narreyroux où des skieurs sans équipement continuent à aller.
Pour les pratiquants, un appel à la vigilance doit être interprété comme un appel à appliquer de façon stricte les méthodes de réduction des risques. Par risque 3, par exemple, ça implique de ne pas aller dans des secteurs avec des pentes supérieures à 30° en orientation NO à NE.

 Il existe pour cela des outils d’aide à la décision. Voici par exemple, les pentes à plus de 30° dans la Combe de Narreyroux à Puy-Saint-Vincent.

Retour sommaire

Retour sommaire

La commune, avec le soutien du Parc national des Écrins, va lancer un projet de réhabilitation de l'aire d'accueil d'Entre les Aygues, la porte d'accès de Vallouise au cœur du Parc national. Le projet consisterait à : démolir le bâtiment en béton de plus en plus dégradé ; réaliser un aménagement léger de la plateforme du parking pour couper les perspectives tout en conservant un aspect naturel ; repositionner le point d'information sur site du Parc ; réhabiliter l'une des ruines en pierre pour y intégrer des services (information patrimoniales et toilettes sèches). Parallèlement la mise en place d'une navette reliant le centre bourg à l'aire d'accueil sera étudiée.

Le projet n'en est qu'à ses débuts, pour l'instant dans la phase de recherche de subventionnement pour l'étude pré-opérationnel, avant les travaux eux-mêmes si l'étude les préconise.

Retour sommaire

Le bulletin municipal n°25 de l'hiver 2014/2015 vient de paraître. Parmi les informations : bientôt un site internet pour la commune ; la réhabilitation de l'aire d'accueil d'Entre les Aygues (ci-dessus) ; la désacralisation de la chapelle des Pénitents ; le projet de réaménagement et de sécurisation de l'entrée du bourg ; poursuite de l'opération « façades-toitures ».

Retour sommaire

Retour sommaire

Retour sommaire

Retour sommaire

Les association Lecture et rencontres en Vallouise (Lerev) et Musiques en Écrins se rejoignent pour promouvoir la littérature et la musique dans la vallée en organisant une conférence musicale autour de Georges Sand le jeudi 29 janvier (affiche).

Retour sommaire

Elle a bien soufflé vendredi et samedi dernier : Clavière a enregistré -2 °C toute la journée à 1800 m. Cela s'est traduit en vallée de la Clarée (aux Alberts) par une limite pluie neige à 1400 m. Mais cette Lombarde a été plutôt faible et n'a pas envahi la haute Durance comme habituellement, eu égard au flux de sud-ouest doux et humide en altitude : les températures sont donc restées autour de 7 à 11 degrés à Embrun et autour de 3 à 4 degrés à Villar-Saint-Pancrace. La limite pluie-neige dans ces conditions était plutôt voisine de 1800 m en descendant la Durance : 1700 m à Vars/Risoul, 1650 à Ceillac, 1800 m aux Orres.

Retour sommaire

Retour sommaire

Saint-Martin-de-Queyrières s'est doté d'un site internet présentant la vie de la commune.

Retour sommaire

Retour sommaire

Retour sommaire

Le living-room à l’étage aurait une grande baie vitrée sur la paroi du fond donnant sur un paysage de montagne avec le Pic de la Meije et la Barre des Écrins plus vers le nord. Rien de tout cela n'existe et la Meije n'est pas dans ce secteur du massif. Quant à la Barre des Écrins elle n'est pas au nord de la Meije. Même dans un roman, ça ne coûte rien de respecter les lieux...

Retour sommaire

Vallouise, les Auches - Massif de Montbrison

La première quinzaine de janvier a repris le rythme de décembre, brièvement interrompu entre le 27 et le 31 décembre, d'une grande douceur sèche avec une isotherme 0 °C dépassant allègrement les 3000 m. La chute de neige de fin décembre a bien vite été oubliée.

Les conditions anticycloniques ont largement dominé durant la première semaine avec un ciel le plus souvent clair. Dans la nuit du 3, un bref passage pluvieux jusqu'à jusqu'à 2500/2700 m a verglacé la surface de la neige, et au-dessus n'a déposé que 1 à 3 cm de neige fraîche balayée par un fort vent de nord-ouest. L'isotherme 0 °C est restée haute durant ces 8 jours, fluctuant généralement entre 2400 et 3300 m. Durant la plus grande partie de la période, le vent est resté cantonné au secteur nord-ouest à nord-est et il a soufflé fortement, voire même violemment samedi 3 et dimanche 4, puis du vendredi 9 au lundi 12, avec de fréquentes pointes dépassant 100 km/h.

La douceur des températures a été remarquable avec une isotherme 0 °C vers 3000 m ou plus, entrecoupée de courtes périodes plus froides dimanche 11 et mercredi 14. Le plus chaud a été atteint le samedi 10, lors d'un puissant effet de fœhn sur les massifs bordant la Savoie et l'Isère. Au final, les limites d'enneigement sont sensiblement remontées et le manteau neigeux a subi une humidification dans de nombreuses orientations. En haute montagne, le manteau neigeux est très irrégulier, fortement travaillé par le vent. Ce vent chaud et sec, qui a fait beaucoup de dégâts sur la neige en décembre et durant la première quinzaine de janvier, est appelé la « bise brune » dans la région.

Cette période douce touche à sa fin. Le fœhn souffle fortement dans les Alpes le jeudi  15 et durant la matinée du vendredi 15.. Un front actif touchera alors nos régions par l’ouest en cours de journée de vendredi avec un retour rapide de la neige en moyenne montagne vendredi après-midi et à basse altitude samedi. Une bonne couche devrait se déposer sur tous les massifs entre vendredi après-midi et samedi soir (environ 30 cm à moyenne altitude sur la plupart des massifs, 40/50 cm à plus haute altitude voire plus localement). Temps assez incertain pour les jours suivants, amélioration probable pour dimanche, en début de semaine prochaine le temps semble rester faiblement perturbé dans une masse d’air assez fraîche.

Retour sommaire

Retour sommaire

Des associations et collectifs se sont constitués et une pétition a été lancée que tous ceux qui ne veulent pas que cette ligne disparaisse, avec les répercussions économiques et touristiques négatives que cela provoquerait, sont invités à signer.

Retour sommaire

Mise à jour du 11 janvier : malheureusement, la dégradation des conditions a conduit à fermer la piste de l'Onde, les épingles à cheveux étant soit sans neige soit en glace.

Retour sommaire

Retour sommaire

Allez, un vœu de bonne année pour la Vallouise : que les quatre maires fassent une présentation commune de leurs vœux comme cela vient de se passer dans la vallée de la Guisane. Chiche !

Déjà les maires de Freissinières et de la Roche-de-Rame ont partagé les leurs. Allez, un petit effort...

Retour sommaire

C'est le résumé de Yves Clémenceau, chef du Centre météo de Briançon. L'année 2014 a été chaude mais sans battre les records comme sur le reste du territoire. À la station de référence d'Embrun avec 70 années d'enregistrements, elle arrive en 3e position derrière 2011, l'année des records, et 2003, l'année de la grande sécheresse. Avec une température annuelle moyenne de +11,6 °C, soit +0,9 °C de plus que la normale, elle est en retrait sur les +12,1 °C de 2011. Contrairement au reste du pays, si l'année a été globalement chaude, elle rate les records car l'été a été très frais avec des mois de juillet et août froids par rapport à la normale. En terme d'ensoleillement, l'année 2014 a été nettement déficitaire en terme d'ensoleillement, toujours à cause des mois de juillet et d'août qui ont été froids, pluvieux et peu ensoleillés. Si la moyenne annuelle d'ensoleillement est normalement de 2 500 heures, elle n'a été que de 2 350 heures en 2014, soit un déficit de 150 heures.

Retour sommaire

Retour sommaire

Pour la deuxième année consécutive, le Briançonnais n'a pas atteint les 300 jours de soleil en 2014. Eh oui, contrairement à la pub, le compteur s'est arrêté à 272, la faute notamment au mois de juillet. Bon, on a l'air fin maintenant, on fait quoi alors ?

Retour sommaire

Des prévisions de quelques flocons de neige sur les Alpes du Nord ont fait fuir beaucoup de touristes des Alpes du Sud dès le vendredi 2 janvier. Pourtant, le beau temps est toujours là, avec pour seul changement une grande douceur en journée . Le traumatisme du samedi de galère pourrait être durable...

Retour sommaire